Bonjour!
Vendredi 25 mai 2018
Voici la Parole de Dieu de ce jour...
(Mc 10,1-12):
En partant de là, Jésus arrive en Judée et en Transjordanie. De
nouveau, la foule s'assemble près de lui, et de nouveau, il les
instruisait comme d'habitude. Des pharisiens l'abordèrent et pour le
mettre à l'épreuve, ils lui demandaient: «Est-il permis à un mari de
renvoyer sa femme?». Jésus dit: «Que vous a prescrit Moïse?». Ils lui
répondirent: «Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d'établir
un acte de répudiation». Jésus répliqua: «C'est en raison de votre
endurcissement qu'il a formulé cette loi. Mais, au commencement de la
création, il les fit homme et femme. A cause de cela, l'homme quittera
son père et sa mère, il s'attachera à sa femme, et tous deux ne feront
plus qu'un. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais ils ne font qu'un. Donc,
ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas!».
De retour à la maison, les disciples l'interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur répond: «Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle. Si une femme a renvoyé son mari et en épouse un autre, elle est coupable d'adultère».
De retour à la maison, les disciples l'interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur répond: «Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle. Si une femme a renvoyé son mari et en épouse un autre, elle est coupable d'adultère».
Abbé
Miquel
VENQUE i To
(Barcelona, Espagne)
«Il les instruisait comme d'habitude»
Aujourd'hui,
Seigneur, je voudrais prendre un peu de temps pour te faire une prière
de remerciement pour tous tes enseignements. Tu enseignais avec autorité
et tu le faisais dès qu'on te laissait faire et tu profitais de toutes
les occasions: bien sûr, je comprends Seigneur que le but de ta mission
était de transmettre la Parole du Père. Et tu l'as fait.
—Aujourd'hui, connecté à internet je te dis: Parle-moi, parce que je veux prendre un petit moment pour prier comme un disciple fidèle. D'abord, je voudrais te demander la capacité d'apprendre ce que tu enseignes et ensuite être capable de l'enseigner aux autres. Je reconnais qu'il est facile de tomber dans l'erreur de te faire dire des choses que tu n'as jamais dites, et avec une audace malveillante, j'essaie de te faire dire ce que j'aimerais que tu dises. Je reconnais que mon cœur est peut-être plus endurci que celui de ceux qui t'écoutaient.
—Je connais ton évangile, le Magistère de l'Église, le catéchisme, et je me souviens des paroles du pape Jean Paul II dans sa "Lettre aux familles": «Le dessein de l'utilitarisme, fondé sur une liberté orientée dans un sens individualiste, c'est-à-dire une liberté sans responsabilité, constitue l'antithèse de l'amour». Seigneur, je te demande de briser mon cœur qui a envie d'un bonheur utilitariste et de me faire entrer dans la vérité divine dont j'ai tant besoin.
—Vu d'ici, comme du sommet d'une montagne, je comprends que tu dises que l'amour du mariage est définitif, que l'adultère —en plus d'être un péché comme toute offense grave envers toi, qui est le Seigneur de la Vie et de l'Amour— est un faux chemin vers le bonheur: «Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle» (Mc 10,11).
Je me rappelle aussi d'un jeune homme qui me disait: «Mon père, le péché promet beaucoup, ne donne rien et enlève tout». Bon Jésus, fais que je puisse te comprendre, et que je puisse l'expliquer aux autres: ce que tu as uni, l'homme ne peut pas le séparer (cf. Mc 10,9). Loin d'ici, en dehors de tes chemins je ne trouverai pas le bonheur véritable. Jésus, apprends moi à nouveau!
Merci Jésus. Mon cœur est dur mais je sais que tu as raison.
—Aujourd'hui, connecté à internet je te dis: Parle-moi, parce que je veux prendre un petit moment pour prier comme un disciple fidèle. D'abord, je voudrais te demander la capacité d'apprendre ce que tu enseignes et ensuite être capable de l'enseigner aux autres. Je reconnais qu'il est facile de tomber dans l'erreur de te faire dire des choses que tu n'as jamais dites, et avec une audace malveillante, j'essaie de te faire dire ce que j'aimerais que tu dises. Je reconnais que mon cœur est peut-être plus endurci que celui de ceux qui t'écoutaient.
—Je connais ton évangile, le Magistère de l'Église, le catéchisme, et je me souviens des paroles du pape Jean Paul II dans sa "Lettre aux familles": «Le dessein de l'utilitarisme, fondé sur une liberté orientée dans un sens individualiste, c'est-à-dire une liberté sans responsabilité, constitue l'antithèse de l'amour». Seigneur, je te demande de briser mon cœur qui a envie d'un bonheur utilitariste et de me faire entrer dans la vérité divine dont j'ai tant besoin.
—Vu d'ici, comme du sommet d'une montagne, je comprends que tu dises que l'amour du mariage est définitif, que l'adultère —en plus d'être un péché comme toute offense grave envers toi, qui est le Seigneur de la Vie et de l'Amour— est un faux chemin vers le bonheur: «Celui qui renvoie sa femme pour en épouser une autre est coupable d'adultère envers elle» (Mc 10,11).
Je me rappelle aussi d'un jeune homme qui me disait: «Mon père, le péché promet beaucoup, ne donne rien et enlève tout». Bon Jésus, fais que je puisse te comprendre, et que je puisse l'expliquer aux autres: ce que tu as uni, l'homme ne peut pas le séparer (cf. Mc 10,9). Loin d'ici, en dehors de tes chemins je ne trouverai pas le bonheur véritable. Jésus, apprends moi à nouveau!
Merci Jésus. Mon cœur est dur mais je sais que tu as raison.
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«On a l'habitude de réduire
et de mettre l'Évangile dans un carcan
en lui retirant sa simplicité captivante et sa saveur.»
(François - Soyez dans la joie et l'allégresse)
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Bonne journée!
Jean-Yves
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