Bonjour!
vendredi 1er janvier 2016
Voici la Parole de Dieu de ce jour...
(Lc 2,16-21): Les bergers y
allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché
dans la crèche. Après l'avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au
sujet de ce petit Enfant. Tous ceux qui les entendirent furent dans l'étonnement
de ce que leur disaient les bergers. Marie gardait toutes ces choses, et les
repassait dans son coeur. Et les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant
Dieu pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu, et qui était conforme à ce qui
leur avait été annoncé. Le huitième jour, auquel l'enfant devait être circoncis,
étant arrivé, on lui donna le nom de Jésus, nom qu'avait indiqué l'ange avant
qu'il fût conçu dans le sein de sa mère.
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Commentaire: Abbé Manel VALLS i Serra (Barcelona,
Espagne)
«Les
bergers y allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit
enfant couché dans la crèche»
Aujourd'hui,
l'Église contemple avec reconnaissance la maternité de la Mère de Dieu, modèle
de sa propre maternité envers nous tous. Luc nous présente la “rencontre” des
bergers “avec l'Enfant”, accompagné de Marie, sa Mère, et de Joseph. La discrète
présence de Joseph suggère son importante mission de gardien du grand mystère du
Fils de Dieu. Tous ensembles, bergers, Marie et Joseph, «avec le petit enfant
couché dans la crèche» (Lc 2,16), sont comme une belle image de l'Église en
adoration.
“La crèche”: Jésus est déjà là, en une allusion voilée à l'Eucharistie. C'est Marie qui l'a mis là! Luc parle d'une “rencontre”, d'une rencontre des bergers avec Jésus. En effet, sans l'expérience d'une “rencontre” personnelle avec le Seigneur, on ne trouve pas la foi. Seule cette “rencontre”, qui comporte un “voir de ses propres yeux” et, d'une certaine façon, un “toucher”, rend les bergers capables de témoigner de la Bonne Nouvelle, d'être de véritables évangélisateurs qui puissent «raconter ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant» (Lc 2,17).
Et voici un premier fruit de la “rencontre” avec le Christ: «Tous ceux qui les entendirent furent dans l'étonnement» (Lc 2,18). Nous devons demander la grâce de savoir susciter cet “étonnement”, cette admiration chez ceux auxquels nous annonçons l'Évangile.
Il existe encore un second fruit de cette rencontre: «Les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant Dieu pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu» (Lc 2,20). L'adoration de l'Enfant leur remplit le cœur d'enthousiasme pour communiquer ce qu'ils ont vu et entendu, et la communication de ce qu'ils ont vu et entendu les amène à la prière de louanges et à l'action de grâces, à glorifier le Seigneur.
Marie, maîtresse de contemplation —elle «gardait toutes ces choses, et les repassait dans son cœur» (Lc 2,19)— nous donne Jésus, dont le nom signifie “Dieu sauve”. Son nom est aussi notre Paix. Accueillons dans notre cœur ce Nom saint et très doux et ayons-le souvent sur nos lèvres!
“La crèche”: Jésus est déjà là, en une allusion voilée à l'Eucharistie. C'est Marie qui l'a mis là! Luc parle d'une “rencontre”, d'une rencontre des bergers avec Jésus. En effet, sans l'expérience d'une “rencontre” personnelle avec le Seigneur, on ne trouve pas la foi. Seule cette “rencontre”, qui comporte un “voir de ses propres yeux” et, d'une certaine façon, un “toucher”, rend les bergers capables de témoigner de la Bonne Nouvelle, d'être de véritables évangélisateurs qui puissent «raconter ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant» (Lc 2,17).
Et voici un premier fruit de la “rencontre” avec le Christ: «Tous ceux qui les entendirent furent dans l'étonnement» (Lc 2,18). Nous devons demander la grâce de savoir susciter cet “étonnement”, cette admiration chez ceux auxquels nous annonçons l'Évangile.
Il existe encore un second fruit de cette rencontre: «Les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant Dieu pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu» (Lc 2,20). L'adoration de l'Enfant leur remplit le cœur d'enthousiasme pour communiquer ce qu'ils ont vu et entendu, et la communication de ce qu'ils ont vu et entendu les amène à la prière de louanges et à l'action de grâces, à glorifier le Seigneur.
Marie, maîtresse de contemplation —elle «gardait toutes ces choses, et les repassait dans son cœur» (Lc 2,19)— nous donne Jésus, dont le nom signifie “Dieu sauve”. Son nom est aussi notre Paix. Accueillons dans notre cœur ce Nom saint et très doux et ayons-le souvent sur nos lèvres!
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«Dieu du passé, du présent et de l'avenir,
Dis-nous comment tenir dans nos mains
le sable de nos vies.»
(Auteur inconnu / Citation de Mgr B. Blanchet)
Bonne, Heureuse et Sainte Année 2016!
Paix à vous!
Jean-Yves
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