Bonjour!
Vendredi 23 juin 2017
Fête du Sacré-Cœur
Voici la Parole de Dieu de ce jour...
»Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger».
Commentaire:
Abbé
Antoni
DEULOFEU i González
(Barcelona, Espagne)
«Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos»
Aujourd'hui,
quand nous nous sentirons fatigués par le train-train de tous les jours
—car nous avons tous des épreuves lourdes et parfois difficiles à
supporter— réfléchissons aux paroles de Jésus: «Venez à moi, vous tous
qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le
repos» (Mt 11,28). Reposons-nous en Lui, Il est le seul capable de nous
donner le repos quand nous sommes confrontés à toutes nos préoccupations
pour que nous puissions ainsi trouver la paix et tout l'amour que le
monde ne nous donne pas toujours.
Le repos authentiquement humain a besoin d'une bonne dose de "contemplation". Si nous levons nos yeux au ciel et prions en y mettant notre cœur et si nous restons humbles, c'est sûr que nous trouverons et que nous verrons Dieu, car Il est là («Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange»: Mt 11,25). Mais il ne se trouve pas seulement là, cherchons-le également dans le "joug doux" de toutes les petites choses de tous les jours: dans le sourire innocent d'un petit enfant, dans le regard reconnaissant de ce malade à qui nous rendons visite, dans les yeux du pauvre qui nous demande de l'aide, notre générosité…
Reposons tout notre être, et mettons pleinement notre confiance en Dieu qui est notre seul salut et le salut du monde. Comme le recommandait Jean Paul II, avant de se reposer il faut "porter sur (le travail bien accompli) un regard plein d'une joyeuse satisfaction: c'est un regard «contemplatif», qui ne vise plus de nouvelles réalisations, mais plutôt la jouissance de la beauté de ce qui a été accompli" sous le regard de Dieu. Et ensuite il faut lui adresser une action de grâces: tout vient du Très Haut, et sans Lui nous ne pourrions rien faire.
Précisément, un des plus grands dangers de nos jours, c'est que «notre époque est en mouvement continu, ce qui débouche souvent sur l'activisme, en risquant facilement de "faire pour faire". Nous devons résister à cette tentation en cherchant plutôt à être qu'à faire» (Jean Paul II). Car, en réalité comme nous le dit Jésus, une seule chose est nécessaire (cf. Lc 10,42): «Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos» (Mt 11,29).
Le repos authentiquement humain a besoin d'une bonne dose de "contemplation". Si nous levons nos yeux au ciel et prions en y mettant notre cœur et si nous restons humbles, c'est sûr que nous trouverons et que nous verrons Dieu, car Il est là («Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange»: Mt 11,25). Mais il ne se trouve pas seulement là, cherchons-le également dans le "joug doux" de toutes les petites choses de tous les jours: dans le sourire innocent d'un petit enfant, dans le regard reconnaissant de ce malade à qui nous rendons visite, dans les yeux du pauvre qui nous demande de l'aide, notre générosité…
Reposons tout notre être, et mettons pleinement notre confiance en Dieu qui est notre seul salut et le salut du monde. Comme le recommandait Jean Paul II, avant de se reposer il faut "porter sur (le travail bien accompli) un regard plein d'une joyeuse satisfaction: c'est un regard «contemplatif», qui ne vise plus de nouvelles réalisations, mais plutôt la jouissance de la beauté de ce qui a été accompli" sous le regard de Dieu. Et ensuite il faut lui adresser une action de grâces: tout vient du Très Haut, et sans Lui nous ne pourrions rien faire.
Précisément, un des plus grands dangers de nos jours, c'est que «notre époque est en mouvement continu, ce qui débouche souvent sur l'activisme, en risquant facilement de "faire pour faire". Nous devons résister à cette tentation en cherchant plutôt à être qu'à faire» (Jean Paul II). Car, en réalité comme nous le dit Jésus, une seule chose est nécessaire (cf. Lc 10,42): «Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos» (Mt 11,29).
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