Bonjour!
Jeudi 10 août 2017
Aujourd'hui
c'est la fête de saint Laurent, diacre et martyr.
«Jeune diacre brûlé vif à Rome, en 258. Comme on voulait lui arracher le secret des "richesses" de l'Église, il répondit en montrant des miséreux: «Voilà les richesses de l'Église; ils convertissent nos aumônes en trésors impérissables!».
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Le diacre veut être signe d'espérance
dans le monde d'aujourd'hui.
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Le diacre veut être signe d'espérance
dans le monde d'aujourd'hui.
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...
Commentaire:
Abbé
Antoni
CAROL i Hostench
(Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne)
«Si quelqu'un veut me servir, qu'il me suive; et là où je suis, là aussi sera mon serviteur»
Aujourd'hui,
l'Église à travers la liturgie de l'eucharistie qui célèbre la fête du
martyr romain saint Laurent, nous rappelle qu'«Il existe un témoignage
de cohérence que chaque chrétien doit être capable de porter chaque
jour, y compris à travers la souffrance et les grands sacrifices» (Saint
Jean Paul II)
La loi morale est sainte et inviolable. Cette affirmation, contraste vraiment avec le milieu relativiste qui règne de nos jours, où nous adaptons les exigences éthiques sans difficulté à notre convenance ou à nos défaillances personnelles. Nous ne trouverons jamais personne qui va nous dire «Je suis corrompu»; ou «Je n'ai pas de conscience»; «Je suis une personne sans vérité»… celui qui le dirait se discréditerait lui-même immédiatement.
En définitive, la question serait plutôt: de quelle morale, de quelle conscience et de quelle vérité est-ce que nous parlons? Il est évident que la paix et une saine cohabitation sociale ne peuvent se baser sur une morale “à la carte”, où chacun choisit ce qui lui plaît, sans prendre en compte les inclinations ou les aspirations que notre Créateur a mis à notre disposition dans la nature de chacun d'entre nous. Cette soi-disant morale, loin de nous conduire par des chemins “sûrs” vers des prairies vertes comme le souhaite le Bon Pasteur (cf Ps 23,1-3) nous conduit irrévocablement vers les sables mouvants du “relativisme moral” où tout peut se négocier et se justifier.
Les martyrs sont les témoins irréfutables de la sainteté de la loi morale: il y a des exigences basiques d'amour qui n'admettent pas d'exceptions ni d'adaptations. C'est clair, «dans la Nouvelle Alliance nous retrouvons de nombreux témoignages de disciples du Christ qui (…) ont accepté les persécutions et la mort plutôt que de faire le geste païen de brûler de l'encens devant la statue de l'empereur» (Saint Jean Paul II).
Dans la Rome de l'empereur Valérien, le diacre «saint Laurent a aimé le Christ dans sa vie et l'a imité dans sa mort» (Saint Augustin). Et, une fois de plus, s'accomplissent les paroles «celui qui hait sa vie sur terre, la gardera pour la vie éternelle» (Jn 12,25). La mémoire de saint Laurent, restera toujours, heureusement pour nous, comme un signe pour nous faire comprendre qu'aller à la suite du Christ mérite bien de donner sa vie plutôt que d'accepter des interprétations frivoles de son chemin.
La loi morale est sainte et inviolable. Cette affirmation, contraste vraiment avec le milieu relativiste qui règne de nos jours, où nous adaptons les exigences éthiques sans difficulté à notre convenance ou à nos défaillances personnelles. Nous ne trouverons jamais personne qui va nous dire «Je suis corrompu»; ou «Je n'ai pas de conscience»; «Je suis une personne sans vérité»… celui qui le dirait se discréditerait lui-même immédiatement.
En définitive, la question serait plutôt: de quelle morale, de quelle conscience et de quelle vérité est-ce que nous parlons? Il est évident que la paix et une saine cohabitation sociale ne peuvent se baser sur une morale “à la carte”, où chacun choisit ce qui lui plaît, sans prendre en compte les inclinations ou les aspirations que notre Créateur a mis à notre disposition dans la nature de chacun d'entre nous. Cette soi-disant morale, loin de nous conduire par des chemins “sûrs” vers des prairies vertes comme le souhaite le Bon Pasteur (cf Ps 23,1-3) nous conduit irrévocablement vers les sables mouvants du “relativisme moral” où tout peut se négocier et se justifier.
Les martyrs sont les témoins irréfutables de la sainteté de la loi morale: il y a des exigences basiques d'amour qui n'admettent pas d'exceptions ni d'adaptations. C'est clair, «dans la Nouvelle Alliance nous retrouvons de nombreux témoignages de disciples du Christ qui (…) ont accepté les persécutions et la mort plutôt que de faire le geste païen de brûler de l'encens devant la statue de l'empereur» (Saint Jean Paul II).
Dans la Rome de l'empereur Valérien, le diacre «saint Laurent a aimé le Christ dans sa vie et l'a imité dans sa mort» (Saint Augustin). Et, une fois de plus, s'accomplissent les paroles «celui qui hait sa vie sur terre, la gardera pour la vie éternelle» (Jn 12,25). La mémoire de saint Laurent, restera toujours, heureusement pour nous, comme un signe pour nous faire comprendre qu'aller à la suite du Christ mérite bien de donner sa vie plutôt que d'accepter des interprétations frivoles de son chemin.
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«Être capable d'être heureux,
quelles que soient les circonstances, nécessite de la créativité.»
(Franklin P. Adams)
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«Heureux es-tu si tu te souviens
que le berceau de ta naissance est le cœur de ton Dieu.»
(Maurice Zundel)
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«Si tu existes, c'est que tu es une œuvre d'amour.»
(Jean Lafrance)
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«Je prie avec toi en passant le temps que tu me donnes.»
(Jacques Gauthier)
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Le diacre
veut être signe d'espérance
dans ce monde d'aujourd'hui.
«Je prie avec toi en passant le temps que tu me donnes.»
(Jacques Gauthier)
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Le diacre
veut être signe d'espérance
dans ce monde d'aujourd'hui.
Bonne journée!
Jean-Yves
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