Bonjour!
Lundi 5 août 2024
Voici la Parole de Dieu de ce jour...
ÉVANGILE
« Levant les yeux au ciel, il prononça la bénédiction ; il rompit les pains, il les donna aux disciples, et les disciples les donnèrent à la foule » (Mt 14, 13-21)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
Année B - 2024 - et C
– Acclamons la Parole de Dieu.
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Commentaire...
Parfois nous trouvons la vie difficile. C’est l’illustration du fait que le bonheur auquel nous aspirons ne sera jamais, et ne pourra jamais, se réaliser sur cette terre. C’est seulement au ciel, quand nous participerons à la vie même de la Trinité, que nous obtiendrons enfin le bonheur que nous désirons si ardemment. Notre vie sur terre est celle d’un pèlerin. Nous devons souvent nous rappeler cette grande vérité. Un pèlerin est celui qui est en chemin. Il n’a pas atteint sa destination finale et ainsi il ne peut pas s’arrêter. Nous sommes des pèlerins en ce monde car nous voyageons vers le ciel. Sur le chemin, nous cherchons quelque chose qui nous soutiendra, un aliment que le monde, avec ses nombreuses merveilles, ne pourra jamais nous donner. Jésus-Christ s’est donné pour être notre pain quotidien afin de nous soutenir pendant ce grand voyage.
Cette nourriture, le corps et le précieux sang du Christ est un don gratuit. Rien de ce que nous pourrions faire ne mérite ce don extraordinaire d’amour. Rien de ce que nous avons ne pourrait jamais acheter l’eucharistie, parce que l’eucharistie est d’une valeur infinie ; c’est le Fils de Dieu lui-même. Nous ne pouvons rien échanger afin de l’obtenir. Et ainsi, nous sommes menés à contempler, émerveillé et plein de gratitude le don de l’eucharistie. Rendons grâce au Seigneur. Nous devons repousser toute indifférence et redécouvrir la beauté, la majesté, et la profondeur de l’amour que Jésus présent dans l’Eucharistie suscite. Il nous a donné – à toi et à moi comme membres de son Église – le pain de vie. En mangeant ce pain nous sommes fortifiés, renouvelés, transformés et soutenus pendant notre pèlerinage vers le ciel.
Il est possible de se perdre au cours de notre pèlerinage spirituel. Nous pouvons nous fatiguer et avoir envie de nous arrêter. L’attraction du péché peut sembler trop fort pour nous. Peut-être nous ne trouvons plus le courage et la force de continuer. Le Christ nous connaît bien. Il connaît chacune de nos limitations parfaitement. Et il veut être avec nous, pour nous accompagner personnellement. Il ne nous a pas laissés seuls. Il vient à nous dans l’Eucharistie. Il reste dans le tabernacle et il est toujours là, nous bénissant, nous attendant. Tout ce que nous avons à faire est d’aller lui rendre visite. Il prendra soin du reste. Il nous redonnera la paix, nous renouvellera et nous remettra de nouveau sur notre chemin. Il est le Pain de Vie, notre compagnon, notre Seigneur, et, parce qu’il l’a voulu ainsi, notre ami.
Seigneur, comme il est grand, le don de l’Eucharistie. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma gratitude. Je veux te recevoir avec la même humilité, amour et dévotion que Marie dans les années qui ont suivi ton ascension.
Abbé Philippe Link - Merci!
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L'hymne - hier soir - Liturgie des heures...
Frappe à ma porte,
Toi qui viens me déranger.
Frappe à ma porte,
Tu viens me ressusciter.
R/ Je ne sais ni le jour ni l'heure,
Mais je sais que c'est toi, Seigneur.
Frappe à ma porte
Tout le vent de ton Esprit.
Frappe à ma porte
Le cri de tous mes frères.
Frappe à ma porte
Le cri de tes affamés.
Frappe à ma porte
La chaîne du prisonnier.
Frappe à ma porte,
Toi, la misère du monde.
Frappe à ma porte
Le Dieu de toute ma joie.
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Bonne journée!
Jean-Yves
Parfois nous trouvons la vie difficile. C’est l’illustration du fait que le bonheur auquel nous aspirons ne sera jamais, et ne pourra jamais, se réaliser sur cette terre. C’est seulement au ciel, quand nous participerons à la vie même de la Trinité, que nous obtiendrons enfin le bonheur que nous désirons si ardemment. Notre vie sur terre est celle d’un pèlerin. Nous devons souvent nous rappeler cette grande vérité. Un pèlerin est celui qui est en chemin. Il n’a pas atteint sa destination finale et ainsi il ne peut pas s’arrêter. Nous sommes des pèlerins en ce monde car nous voyageons vers le ciel. Sur le chemin, nous cherchons quelque chose qui nous soutiendra, un aliment que le monde, avec ses nombreuses merveilles, ne pourra jamais nous donner. Jésus-Christ s’est donné pour être notre pain quotidien afin de nous soutenir pendant ce grand voyage.
Cette nourriture, le corps et le précieux sang du Christ est un don gratuit. Rien de ce que nous pourrions faire ne mérite ce don extraordinaire d’amour. Rien de ce que nous avons ne pourrait jamais acheter l’eucharistie, parce que l’eucharistie est d’une valeur infinie ; c’est le Fils de Dieu lui-même. Nous ne pouvons rien échanger afin de l’obtenir. Et ainsi, nous sommes menés à contempler, émerveillé et plein de gratitude le don de l’eucharistie. Rendons grâce au Seigneur. Nous devons repousser toute indifférence et redécouvrir la beauté, la majesté, et la profondeur de l’amour que Jésus présent dans l’Eucharistie suscite. Il nous a donné – à toi et à moi comme membres de son Église – le pain de vie. En mangeant ce pain nous sommes fortifiés, renouvelés, transformés et soutenus pendant notre pèlerinage vers le ciel.
Il est possible de se perdre au cours de notre pèlerinage spirituel. Nous pouvons nous fatiguer et avoir envie de nous arrêter. L’attraction du péché peut sembler trop fort pour nous. Peut-être nous ne trouvons plus le courage et la force de continuer. Le Christ nous connaît bien. Il connaît chacune de nos limitations parfaitement. Et il veut être avec nous, pour nous accompagner personnellement. Il ne nous a pas laissés seuls. Il vient à nous dans l’Eucharistie. Il reste dans le tabernacle et il est toujours là, nous bénissant, nous attendant. Tout ce que nous avons à faire est d’aller lui rendre visite. Il prendra soin du reste. Il nous redonnera la paix, nous renouvellera et nous remettra de nouveau sur notre chemin. Il est le Pain de Vie, notre compagnon, notre Seigneur, et, parce qu’il l’a voulu ainsi, notre ami.
Seigneur, comme il est grand, le don de l’Eucharistie. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma gratitude. Je veux te recevoir avec la même humilité, amour et dévotion que Marie dans les années qui ont suivi ton ascension.
Abbé Philippe Link - Merci!
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L'hymne - hier soir - Liturgie des heures...
Frappe à ma porte,
Toi qui viens me déranger.
Frappe à ma porte,
Tu viens me ressusciter.
R/ Je ne sais ni le jour ni l'heure,
Mais je sais que c'est toi, Seigneur.
Frappe à ma porte
Tout le vent de ton Esprit.
Frappe à ma porte
Le cri de tous mes frères.
Frappe à ma porte
Le cri de tes affamés.
Frappe à ma porte
La chaîne du prisonnier.
Frappe à ma porte,
Toi, la misère du monde.
Frappe à ma porte
Le Dieu de toute ma joie.
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Bonne journée!
Jean-Yves
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