Bonjour!
Samedi 8 juillet 2017
«Il vaut mieux mettre son cœur dans la prière
sans trouver de paroles
que trouver des mots sans y mettre son cœur.»
(Gandhi)
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«La soif d'infini qui tenaille l'homme
témoigne qu'il est fait pour Dieu.»
(Jean-Guy Saint-Arnaud)
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«La soif d'infini qui tenaille l'homme
témoigne qu'il est fait pour Dieu.»
(Jean-Guy Saint-Arnaud)
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...
Commentaire:
Abbé
Joaquim
FORTUNY i Vizcarro
(Cunit, Tarragona, Espagne)
«Un temps viendra où l'Époux leur sera enlevé»
Aujourd'hui,
nous remarquons comment avec Jésus commence un temps nouveau et une
nouvelle doctrine, enseignée avec autorité et, comme toute chose
nouvelle, elle choque les politiques et les autorités. Ainsi, dans les
pages qui précèdent cet Évangile nous voyons Jésus en train de pardonner
et guérir l'homme paralysé pendant que les pharisiens se scandalisent;
Jésus appelant Mathieu un percepteur d'impôts et mangeant chez lui avec
d'autres publicains et pécheurs pendant que les pharisiens "grimpent aux
murs"; et dans l'Évangile d'aujourd'hui ce sont les disciples de Jean
qui viennent vers Jésus car ils ne comprennent pas pourquoi Lui et ses
disciples ne jeûnent pas.
Jésus, qui ne laisse jamais personne sans réponse, leur dira: «Les invités de la noce pourraient-ils donc faire pénitence pendant le temps où l'Époux est avec eux? Mais un temps viendra où l'Époux leur sera enlevé, et alors ils jeûneront» (Mt 9,15). Le jeûne était et est, le "praxis" pénitentielle qui contribue à «acquérir la maîtrise de nos instincts et la liberté du cœur» (Catéchisme de l'Église Catholique, n. 2043) ainsi qu'à interpréter la miséricorde divine. Mais à ce moment précis la miséricorde et l'amour infini de Dieu étaient parmi eux dans la présence de Jésus, le Verbe Incarné. Comment pouvaient-ils jeûner? La seule attitude possible était la joie, le bonheur d'avoir la présence de Dieu fait homme. Comment pouvaient-ils jeûner si Jésus venait de leur révéler une nouvelle manière de se mettre en rapport avec Dieu, un esprit nouveau qui rompait avec toutes les anciennes façons de procéder?
Aujourd'hui Jésus est là: «Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde» (Mt 28,20), et Il n'est pas là car Il a retourné au Père et nous clamons: «Viens Seigneur Jésus».
Nous sommes dans l'attente. C'est pour cela qu'il faut que nous nous renouvelions chaque jour avec l'esprit nouveau de Jésus, afin de nous détacher de la routine, jeûner de tout ce qui peut nous empêcher d'avancer vers une identification totale avec le Christ, vers la sanctification. «Justes sont nos pleurs -notre jeûne- si nous brûlons d'envie de le voir» (Saint Augustin).
Nous supplions notre Sainte Mère Marie de nous concéder les grâces nécessaires pour vivre la joie de savoir que nous sommes des enfants aimés.
Jésus, qui ne laisse jamais personne sans réponse, leur dira: «Les invités de la noce pourraient-ils donc faire pénitence pendant le temps où l'Époux est avec eux? Mais un temps viendra où l'Époux leur sera enlevé, et alors ils jeûneront» (Mt 9,15). Le jeûne était et est, le "praxis" pénitentielle qui contribue à «acquérir la maîtrise de nos instincts et la liberté du cœur» (Catéchisme de l'Église Catholique, n. 2043) ainsi qu'à interpréter la miséricorde divine. Mais à ce moment précis la miséricorde et l'amour infini de Dieu étaient parmi eux dans la présence de Jésus, le Verbe Incarné. Comment pouvaient-ils jeûner? La seule attitude possible était la joie, le bonheur d'avoir la présence de Dieu fait homme. Comment pouvaient-ils jeûner si Jésus venait de leur révéler une nouvelle manière de se mettre en rapport avec Dieu, un esprit nouveau qui rompait avec toutes les anciennes façons de procéder?
Aujourd'hui Jésus est là: «Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde» (Mt 28,20), et Il n'est pas là car Il a retourné au Père et nous clamons: «Viens Seigneur Jésus».
Nous sommes dans l'attente. C'est pour cela qu'il faut que nous nous renouvelions chaque jour avec l'esprit nouveau de Jésus, afin de nous détacher de la routine, jeûner de tout ce qui peut nous empêcher d'avancer vers une identification totale avec le Christ, vers la sanctification. «Justes sont nos pleurs -notre jeûne- si nous brûlons d'envie de le voir» (Saint Augustin).
Nous supplions notre Sainte Mère Marie de nous concéder les grâces nécessaires pour vivre la joie de savoir que nous sommes des enfants aimés.
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«Être libre,
ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes;
c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce
la liberté des autres.»
(Nelson Mandela)
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Diacre
au cœur de notre monde d'aujourd'hui
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«Tout peut devenir un enseignement...».
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Bonnes vacances!
Bonne journée!
Jean-Yves
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