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Mardi 8 juillet 2014
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...
Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages, enseignant dans leurs synagogues, proclamant la Bonne Nouvelle du Royaume et guérissant toute maladie et toute infirmité. Voyant les foules, il eut pitié d'elles parce qu'elles étaient fatiguées et abattues comme des brebis sans berger. Il dit alors à ses disciples: «La moisson est abondante, et les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson».
Commentaire: Abbé Joan SOLÀ i Triadú (Girona,
Espagne)
Priez
donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson
Aujourd'hui,
l'Évangile nous parle de la guérison d'un possédé qui provoque des réactions
différentes chez les Pharisiens et dans la foule. Alors que les Pharisiens,
devant l'évidence indéniable de ce prodige, ils l'attribuent à des pouvoirs
maléfiques —«C'est par le chef des démons qu'il expulse les démons» (Mt 9,34)—,
la foule fut dans l'admiration: «Jamais rien de pareil ne s'est vu en Israël!»
(Mt 9,33).
En commentant ce passage de l'Évangile, Saint Jean Chrysostome, nous dit: «Ce qui vraiment gênait les Pharisiens c'était de considérer Jésus supérieur à tous, et non pas seulement a ceux qui existaient à l'époque, mais à tous ceux qui avaient existé auparavant».
Or, Jésus ne se préoccupe guère de l'animadversion des Pharisiens, car Il continue fidèle à sa mission. Mieux encore, devant l'évidence que les guides d'Israël, au lieu de soigner et faire pâturer leur troupeau ne font que contribuer à l'égarer, à la vue des foules Jésus en eu pitié, car ces gens étaient las et prostrés comme des brebis qui n'ont pas de berger.
Que les foules souhaitent et remercient un bon guide a été vérifié par les visites pastorales du Pape Jean Paul II à tant de pays du monde. Que de foules s'entassaient autour de lui! Et comment elles écoutaient ses paroles, surtout les jeunes! Et cela, malgré que le Pape n'affaiblissait pas l'Évangile, mais il le prêchait avec toutes ses exigences.
Nous tous, «si nous étions conséquents avec notre foi, —nous dit saint Josemarie Escrivá— en regardant autour de nous, en contemplant le spectacle de l'histoire et du monde, nous ressentirions en notre cœur ces sentiments de Jésus», ce qui nous mènerait à une généreuse tâche apostolique.
Mais il est évident la disproportion existante entre les foules qui espèrent la prédication de la Bonne Nouvelle du Royaume et la manque d'ouvriers. La solution nous est donnée par Jésus à la fin de l'Évangile: «Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson» (Mt 9,38).
En commentant ce passage de l'Évangile, Saint Jean Chrysostome, nous dit: «Ce qui vraiment gênait les Pharisiens c'était de considérer Jésus supérieur à tous, et non pas seulement a ceux qui existaient à l'époque, mais à tous ceux qui avaient existé auparavant».
Or, Jésus ne se préoccupe guère de l'animadversion des Pharisiens, car Il continue fidèle à sa mission. Mieux encore, devant l'évidence que les guides d'Israël, au lieu de soigner et faire pâturer leur troupeau ne font que contribuer à l'égarer, à la vue des foules Jésus en eu pitié, car ces gens étaient las et prostrés comme des brebis qui n'ont pas de berger.
Que les foules souhaitent et remercient un bon guide a été vérifié par les visites pastorales du Pape Jean Paul II à tant de pays du monde. Que de foules s'entassaient autour de lui! Et comment elles écoutaient ses paroles, surtout les jeunes! Et cela, malgré que le Pape n'affaiblissait pas l'Évangile, mais il le prêchait avec toutes ses exigences.
Nous tous, «si nous étions conséquents avec notre foi, —nous dit saint Josemarie Escrivá— en regardant autour de nous, en contemplant le spectacle de l'histoire et du monde, nous ressentirions en notre cœur ces sentiments de Jésus», ce qui nous mènerait à une généreuse tâche apostolique.
Mais il est évident la disproportion existante entre les foules qui espèrent la prédication de la Bonne Nouvelle du Royaume et la manque d'ouvriers. La solution nous est donnée par Jésus à la fin de l'Évangile: «Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson» (Mt 9,38).
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Bonne journée!
Jean-Yves
Bonnes vacances!
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