Bonjour!
Jeudi 15 juillet 2014
Photo:
La mer, le ciel...
(Qui m'a fourni cette photo?...)
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...
Texte de l'Évangile (Mt 11,20-24): Jésus se mit à
faire des reproches aux villes où avaient eu lieu la plupart de ses miracles,
parce qu'elles ne s'étaient pas converties: «Malheureuse es-tu, Corazine!
Malheureuse es-tu, Bethsaïde! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous
avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris
le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence. En tout cas, je vous le
déclare: Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous, au jour du
Jugement. Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au ciel? Non, tu
descendras jusqu'au séjour des morts! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez
toi avaient eu lieu à Sodome, cette ville subsisterait encore aujourd'hui. En
tout cas, je vous le déclare: le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que
toi, au jour du Jugement».
Commentaire: Fr. Damien LIN Yuanheng (Singapore,
Singapour)
«Malheureuse
es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde!»
Aujourd'hui,
le Christ réprimande deux villes de Galilée, Corazine et Bethsaïde à cause de
leur manque de foi: "Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde
! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à
Sidon, … les gens se seraient convertis" (Mt 11,21). Jésus Lui-même témoigne en
faveur des villes phéniciennes, Tyr et Sidon: elles auraient fait pénitence avec
une grande humilité si elles avaient vu les merveilles du pouvoir
divin.
Personne n'est heureux de recevoir une bonne réprimande. En effet, il doit être particulièrement douloureux de se faire réprimander par le Christ, Lui qui nous aime d'un cœur infiniment miséricordieux. Simplement, il n'y a pas d'excuse, il n'y a pas d'immunité quand on est réprimandé par la Vérité même. Recevons donc chaque jour, avec humilité et responsabilité, l'appel de Dieu à la conversion.
Il faut noter également que le Christ ne tourne pas autour du pot. Il met ses auditeurs face à la vérité. Nous devons analyser la façon dont nous parlons du Christ aux autres. Souvent, nous aussi nous devons lutter contre le respect que nous avons pour les personnes afin de mettre nos amis face aux vérités éternelles, telles que la mort et le jugement final. Le Pape François décrit saint Paul, sciemment, comme un "fauteur de troubles": "le Seigneur veut que nous allions toujours plus loin…que nous ne nous réfugions pas dans une vie tranquille ni dans des structures obsolètes (…)". Et Paul dérangeait en prêchant le Seigneur. Mais il allait de l'avant, car il avait dans son for intérieur cette attitude chrétienne qu'est le zèle apostolique. Il n'était pas un "homme de compromis". Ne fuyons pas notre devoir de charité!
Vous trouverez peut-être, comme moi, les paroles de San Joseph Marie Escrivá édifiantes: "(…) il s'agit de parler comme un sage, comme un chrétien, mais de façon accessible à tous". Nous ne pouvons pas nous endormir sur nos lauriers – nous accommoder- afin d'être entendus de tous, mais au contraire nous devons demander la grâce d'être des instruments de l'Esprit Saint, afin de situer pleinement chaque homme et chaque femme face à la vérité divine.
Personne n'est heureux de recevoir une bonne réprimande. En effet, il doit être particulièrement douloureux de se faire réprimander par le Christ, Lui qui nous aime d'un cœur infiniment miséricordieux. Simplement, il n'y a pas d'excuse, il n'y a pas d'immunité quand on est réprimandé par la Vérité même. Recevons donc chaque jour, avec humilité et responsabilité, l'appel de Dieu à la conversion.
Il faut noter également que le Christ ne tourne pas autour du pot. Il met ses auditeurs face à la vérité. Nous devons analyser la façon dont nous parlons du Christ aux autres. Souvent, nous aussi nous devons lutter contre le respect que nous avons pour les personnes afin de mettre nos amis face aux vérités éternelles, telles que la mort et le jugement final. Le Pape François décrit saint Paul, sciemment, comme un "fauteur de troubles": "le Seigneur veut que nous allions toujours plus loin…que nous ne nous réfugions pas dans une vie tranquille ni dans des structures obsolètes (…)". Et Paul dérangeait en prêchant le Seigneur. Mais il allait de l'avant, car il avait dans son for intérieur cette attitude chrétienne qu'est le zèle apostolique. Il n'était pas un "homme de compromis". Ne fuyons pas notre devoir de charité!
Vous trouverez peut-être, comme moi, les paroles de San Joseph Marie Escrivá édifiantes: "(…) il s'agit de parler comme un sage, comme un chrétien, mais de façon accessible à tous". Nous ne pouvons pas nous endormir sur nos lauriers – nous accommoder- afin d'être entendus de tous, mais au contraire nous devons demander la grâce d'être des instruments de l'Esprit Saint, afin de situer pleinement chaque homme et chaque femme face à la vérité divine.
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Saint Augustin disait:
«On a trouvé le secret de bien vivre
quand on a appris à prier.»
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«Notre foi évolue avec l'âge,
à travers les joies et les peines que la vie nous offre.»
(Frédéric Lenoir)
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«L'Évangile ne cesse de montrer que Jésus,
par le regard d'amour qu'il porte à ceux qu'il rencontre,
relève, réconforte, bouleverse, retourne le cœur,
remet sur la route, redonne vie.»
(Frédéric Lenoir)
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Photo:
Un coucher de soleil en Islande
(D. Beck - France - Merci!)
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Diacre
au cœur de notre monde.
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Bonne journée!
Jean-Yves
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