Bonjour!
Mardi 24 mars 2020
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...
ÉVANGILE
« Aussitôt l’homme fut guéri » (Jn 5, 1-16)
Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus !
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu ;
rends- moi la joie d’être sauvé.
Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus ! (Ps 50, 12a.14a)
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
À l’occasion d’une fête juive,
Jésus monta à Jérusalem.
Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis,
il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha.
Elle a cinq colonnades,
sous lesquelles étaient couchés une foule de malades,
aveugles, boiteux et impotents.
Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans.
Jésus, le voyant couché là,
et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps,
lui dit :
« Veux-tu être guéri ? »
Le malade lui répondit :
« Seigneur, je n’ai personne
pour me plonger dans la piscine
au moment où l’eau bouillonne ;
et pendant que j’y vais,
un autre descend avant moi. »
Jésus lui dit :
« Lève-toi, prends ton brancard, et marche. »
Et aussitôt l’homme fut guéri.
Il prit son brancard : il marchait !
Or, ce jour-là était un jour de sabbat.
Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pied :
« C’est le sabbat !
Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. »
Il leur répliqua :
« Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit :
“Prends ton brancard, et marche !” »
Ils l’interrogèrent :
« Quel est l’homme qui t’a dit :
“Prends ton brancard, et marche” ? »
Mais celui qui avait été rétabli
ne savait pas qui c’était ;
en effet, Jésus s’était éloigné,
car il y avait foule à cet endroit.
Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit :
« Te voilà guéri.
Ne pèche plus,
il pourrait t’arriver quelque chose de pire. »
L’homme partit annoncer aux Juifs
que c’était Jésus qui l’avait guéri.
Et ceux-ci persécutaient Jésus
parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
– Acclamons la Parole de Dieu.
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Commentaire...
Nous sommes aujourd’hui interrogés sur l’orientation de notre volonté, sur nos choix de vie. Quelle vie vivons-nous ? Quelle vie espérons-nous ? Quelles sont notre recherche et notre persévérance à trouver la vraie vie ?
Le témoignage de ce paralytique nous rappelle combien le choix de la vie demande du courage et de la confiance en Dieu. L’homme était assis près de la piscine depuis trente-huit ans. Pour lui, choisir la vie, vouloir guérir, impliquait d’entrer dans un monde difficile et inconnu : apprendre à marcher, apprendre un métier, trouver un foyer, se réinsérer dans la vie sociale.
Après tant d’années de mendicité et d’inactivité, il s’agit d’un véritable défi. Il semble donc que la première guérison que Jésus ait opérée en lui soit celle de la peur qu’une telle perspective engendre.
« Lève-toi, prends ton brancard, et marche ». Jésus guérit en donnant un ordre, l’ordre de reprendre la route vers la maison du Père, l’ordre de se remettre au travail.
C’est la dimension qu’occultent les scribes qui font à Jésus son procès. Ils discutent sur le fait de porter son grabat un jour de sabbat, c’est-à-dire sur le fait de travailler un jour de sabbat, et oublient que ce travail réalise une guérison.
Or Jésus accomplit le sabbat en guérissant cet homme car il porte à son accomplissement l’œuvre de son Père.
« Te voilà en bonne santé. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver pire encore ». Par cette recommandation, Jésus ne profère pas une menace, il rappelle fermement l’exigence de conversion liée à toute guérison.
Dans notre marche vers Pâques, obtenir la guérison de notre péché exige que nous nous détournions résolument de tous les chemins de traverse et que nous nous mettions au travail.
Seigneur Jésus, nous attendons de toi la guérison car Toi seul est notre salut.
Or voici que tu viens à nous et que tu nous donnes l’ordre de commencer une nouvelle vie.
Nous nous appuyons sur ta Parole : elle a la puissance de vaincre nos peurs de vivre, nos peurs de nous mettre au travail, nos peurs d’affronter un monde inconnu.
Nous choisissons de marcher à ta suite, libres et confiants, portant nos grabats. Conduits-nous, vers la maison du Père, fais nous entrer dans ta joie. Amen!
Abbé Philippe Link - Merci!
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«La gloire de Dieu c'est l'homme vivant.»
(Saint Irénée de Lyon)
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«Aimer c'est apprendre à recevoir la miséricorde de Dieu.»
(Marie-Joseph Le Guillou)
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«Il n'y a pas d'autre source d'espérance pour l'homme
que la miséricorde de Dieu.»
(Saint Jean-Paul II)
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«La gloire de Dieu c'est l'homme vivant.»
(Saint Irénée de Lyon)
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«Aimer c'est apprendre à recevoir la miséricorde de Dieu.»
(Marie-Joseph Le Guillou)
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«Il n'y a pas d'autre source d'espérance pour l'homme
que la miséricorde de Dieu.»
(Saint Jean-Paul II)
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Remerciements à tout le personnel de santé, d'où qu'il soit.
Merci pour tout ce dévouement.
Merci pour tout ce dévouement.
Vous faites un travail très apprécié.
Merci aux gens de nos familles.
Merci aux gens de nos familles.
Merci aussi aux concierges et aux gens des services de l'ordre.
Merci à nos pasteurs.
Merci à nos pasteurs.
Merci aussi à tous nos gouvernants.
Il nous faut compter les uns sur les autres en cette période de crise.
MERCI!
Il nous faut compter les uns sur les autres en cette période de crise.
MERCI!
Évidemment sans la poignée de main physique...
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Bonne journée!
Jean-Yves
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