samedi 19 juillet 2014

(175,352) Troisième jour de la neuvaine à sainte Anne...

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Jean-Yves

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Samedi 19 juillet 2014

Troisième jour de la neuvaine à sainte Anne...


Photo:
Statue de sainte Anne d'Auray
et de Pointe-au-Père
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Prière d'aujourd'hui... 

DONNE LA PAIX À NOTRE TEMPS
Ô Bonne Sainte Anne, grand-maman du « Prince-de-la-Paix », nous te prions pour notre monde, nos familles et nous-mêmes.
Les enfants, les femmes et les hommes de notre temps ont besoin de vivre dans la paix. Plusieurs sont des victimes innocentes de la haine, des divisions et des violences.
Avec toi et Marie, nous nous tournons vers le Seigneur. Nous le supplions d'envoyer son Esprit dans le coeur de tous les humains. Que le Seigneur donne la paix à notre temps. Ô Bonne Sainte Anne, fais que nous soyons des « artisans de paix ».  Amen. (Ref. Diocèse de Rimouski)
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Voici la Parole de Dieu de ce jour... 


(Mt 12,14-21): Les pharisiens se réunirent contre Jésus pour voir comment le faire périr. Jésus, l'ayant appris, quitta cet endroit; beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous. Mais Jésus leur défendit vivement de le faire connaître. Ainsi devait s'accomplir la parole prononcée par le prophète Isaïe: «Voici mon serviteur que j'ai choisi, mon bien-aimé en qui j'ai mis toute ma joie. Je ferai reposer sur lui mon Esprit, aux nations il fera connaître le jugement. Il ne protestera pas, il ne criera pas,on n'entendra pas sa voix sur les places publiques. Il n'écrasera pas le roseau froissé, il n'éteindra pas la mèche qui faiblit, jusqu'à ce qu'il ait fait triompher le jugement. Les nations païennes mettent leur espoir en son nom».
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Commentaire: Abbé Josep Mª MASSANA i Mola OFM (Barcelona, Espagne)
Il les guérit tous
Aujourd'hui, nous trouvons un double message. D'un côté, Jésus nous appelle avec une belle invitation à le suivre: «Beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous» (Mt 12,15). Si nous le suivons nous trouverons le remède aux difficultés du chemin, comme Il nous rappelait il n'y a pas longtemps: «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos» (Mt 11,28). De l'autre côté, on nous montre le courage de l'amour paisible: «Il ne protestera pas, il ne criera pas» (Mt 12,19).

Il sait que nous sommes accablés et éreintés par le poids de nos faiblesses physiques et morales... et par cette croix inattendue qui nous a rendu visite dans toute sa crudité, par les frictions, les désillusions, le chagrin. En fait, «ils se réunirent contre Jésus pour voir comment le faire périr» (Mt 12,14) et... nous sommes conscients que le disciple n'est pas au-dessus de son maître (cf. Mt 10,24), nous devons être aussi conscients que nous devrons également souffrir l'incompréhension et l'affront.

Tout cela constitue un fardeau qui pèse sur nos épaules, un fardeau qui nous fait fléchir. Et nous entendons alors comme la voix de Jésus qui nous dit: «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos…»

C'est curieux: Jésus nous invite à laisser notre poids, mais il nous en offre un autre: son joug, avec la promesse, ça oui, qu'il est doux et léger. Il veut nous montrer que nous ne pouvons pas aller dans ce monde sans aucun poids. Nous devons porter un fardeau ou un autre. Mais qu'il ne s'agisse pas de notre fardeau plein de matérialisme; qu'il s'agisse de son poids qui est léger…

En Afrique, les mères et les sœurs aînées amènent les plus petits accrochés sur le dos. Une fois un missionnaire vit une gamine qui y portait son petit frère... Et il lui demanda: «Ne crois-tu pas que c'est un poids trop lourd pour toi?». Elle répondit sans y penser: «Il n'est pas un poids, il est mon petit frère et je l'aime». L'amour, le joug de Jésus, n'est pas lourd, mais il nous délivre de tout ce qui nous accable.
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Prions...

- pour que la paix vienne dans notre monde...
- pour ceux qui sont en deuil...
- pour les vacanciers...
- pour ceux qui sont à l'agonie...
- pour ceux qui se recommandent à nos prières...

Notre Père...
Je vous salue Marie...
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«Comment es-tu foyer de feu
et fraîcheur de la fontaine,
une brûlure, une douceur
qui rend saines nos souillures?»
(Hymne - bréviaire de ce jour.)
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«Donne-moi, Seigneur, de faire espérer celui qui doute,
de faire rire celui qui est triste,
de réjouir qui s'ennuie 
et de faire parler qui s'enferme.»
(André Delapierre)
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Bonne journée!
Jean-Yves

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