mercredi 30 janvier 2013

Ouvre ton coeur à la Parole... Cultive-la...

Bonjour!

Jeudi 30 janvier 2013


Photo:
De André Lavoie - Saint-Pacôme - Merci!
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...

(Marc 4,1-20): + Jésus s'est mis une fois de plus à enseigner au bord du lac, et une foule très nombreuse se rassemble auprès de lui, si bien qu'il monte dans une barque où il s'assoit. Il était sur le lac et toute la foule était au bord du lac, sur le rivage. Il leur enseignait beaucoup de choses en paraboles, et il leur disait, dans son enseignement: «Écoutez! Voici que le semeur est sorti pour semer. Comme il semait, il est arrivé que du grain est tombé au bord du chemin, et les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé. Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux, où il n'avait pas beaucoup de terre; il a levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde; et lorsque le soleil s'est levé, ce grain a brûlé et, faute de racines, il a séché. Du grain est tombé aussi dans les ronces, les ronces ont poussé, l'ont étouffé, et il n'a pas donné de fruit. Mais d'autres grains sont tombés sur la bonne terre; ils ont donné du fruit en poussant et en se développant, et ils ont produit trente, soixante, cent pour un». Et Jésus disait: «Celui qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende!».


Pour animer notre réflexion...


1. Jésus s’adresse à la foule avec la célèbre parabole du semeur. C’est une page en quelque sorte « autobiographique », parce qu’elle reflète l’expérience même de Jésus, de sa prédication : il s’identifie au semeur, qui sème la bonne semence de la Parole de Dieu, et il se rend compte des différents effets obtenus, selon le type d’accueil qui est réservé à cette annonce. Il y a ceux qui écoutent la Parole de façon superficielle mais ne l’accueillent pas ; il y a ceux qui l’accueillent sur le moment, mais qui ne sont pas constants et perdent tout ; il y a ceux qui se laissent dominer par les préoccupations et les séductions du monde ; et il y a ceux qui écoutent de façon réceptive comme la bonne terre : là, la Parole porte du fruit en abondance.

2. Cet Evangile insiste aussi sur la « méthode » de la prédication de Jésus, c’est-à-dire justement sur l’utilisation des paraboles. Pourquoi leur parle-t- Il en paraboles ? Jésus répond en faisant une distinction entre eux et la foule : aux disciples, c’est-à-dire à ceux qui se sont déjà décidés pour Lui, Il peut parler du Royaume de Dieu ouvertement, en revanche, aux autres, Il doit l’annoncer en paraboles, justement pour stimuler leur décision, la conversion de leur cœur. En effet, les paraboles, du fait de leur nature, requièrent un effort d’interprétation, interpellent l’intelligence, mais aussi la liberté. Saint Jean Chrysostome écrit: « Jésus a prononcé ces paroles dans l’intention d’attirer à lui ses auditeurs et de les stimuler en leur assurant que s’ils s’adressent à lui, il les guérira». Au fond, la vraie « Parabole » de Dieu, c’est Jésus lui-même, sa personne qui, sous le signe de l’humanité, cache et en même temps révèle sa divinité. De cette façon, Dieu ne nous oblige pas à croire en Lui, mais Il nous attire à Lui par la vérité et la bonté de son Fils incarné : l’amour, en effet, respecte toujours la liberté.

3. La Parole de Dieu est vivante et toujours actuelle ; comment est-ce que je la reçois ? Quels sont les fruits qu’elle porte en moi ? Profitons de cette année de la foi pour devenir jour après jour une meilleure terre, pour que la Parole du Seigneur puisse germer en nous et donner de nombreux fruits. Rappelons-nous de ce que nous disait le Saint Père lors de sa catéchèse du 24 octobre 2012, "La foi n’est pas un simple accord intellectuel de l’homme avec des vérités particulières sur Dieu ; c’est un acte à travers lequel on s’en remet librement à un Dieu qui est Père et qui aime ; c’est l’adhésion à un « Toi » qui me donne espérance et confiance." Cette foi ainsi décrite est le premier fruit, en celui qui écoute la Parole de Dieu et la laisse germer dans la bonne terre de son cœur.
 (D'après catholique.org).
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Et encore...

Le temps... c'est un peu comme une semence:
il faut l'utiliser à bon escient pour qu'il produise du bon fruit...
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Pour avoir une bonne récolte, il faut semer du bon grain dans de la bonne terre...
Mais ce n'est pas tout: il faut aussi cultiver sa terre...
Cultiver sa terre ça veut dire l'arroser, sarcler, renchausser...
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Jésus parle ici de notre relation d'être avec lui...
La terre, c'est notre coeur, notre esprit, notre âme...
Peut-on avoir un coeur accueillant à la Parole de Dieu?...
Ça ne veut pas dire seulement écouter;
comme pour la semence, ça veut dire cultiver:
arroser, sarcler, renchausser...
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«Notre capacité de nous nourrir des petites joies quotidiennes
dépend essentiellement de notre regard intérieur.»
(François Gervais)
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«Nous sommes créés pour l'amour, la paix, la joie;
nous sommes créés pour les accueillir en plénitude
et les offrir en abondance.»
(Yves Perreault)
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Décès:

Ginette Caron,
la soeur de Louise, mon épouse.
Les funérailles auront lieu à l'église de Notre-Dame-du-Lac
vendredi, le 1er février à 10 h 30.
Elle laisse dans le dueil son époux, Maurice Massé
et ses deux garçons: Steve et Éric.
Nos condoléances à sa famille.
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Photo:
Le fleuve, en face de La Pocatière, de ce temps-ci... - Jean-Yves
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«Couvez la vie, c'est elle qui loue Dieu!».

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Face à l'échec
(Pris dans INTERBIBLE du 23 janvier dernier: Chronique INTUITIONS.)

«...aucun prophète n'est bien accueilli dans son pays» (Lc 4, 24).

Abraham Lincoln fut défait sept fois à des élections avant d'être élu président des États-Unis. Aujourd'hui, il est considéré comme l'un des plus grands présidents de l'histoire américaine.

Vincent van Gogh a mené une vie très pauvre et n'a obtenu que 85 $ pour la vente de ses tableaux pendant qu'il vivait. Un siècle plus tard, longtemps après sa mort, une de ses peintures s'est vendue à 82,5 $ millions (Mark Link).

LIEN: Comme Lincoln, van Gogh et plusieurs autres, Jésus aussi a été rejeté, non seulement par les gens de son village, mais aussi par les chefs religieux de son temps. Mais Jésus n'a pas laissé ce mouvement de rejet gouverner sa vie et l'empêcher de faire ce qu'il croyait être juste. Il a accompli la mission de son Père jusqu'au bout. Ses disciples sont appelés à la même liberté intérieure.
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Notre blogue...

Plus de 130 pages ont été ouvertes depuis hier.
- Merci d'être attaché(e) à la Parole de Dieu.
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Diacre
au coeur de notre monde.
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Bonne journée!
Fraternellement!
Jean-Yves
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dimanche 27 janvier 2013

Cette Parole s'accomplit aujourd'hui...

Bonjour!

Dimanche 27 janvier 2013

Photo:
Prise à partir d'une vidéo... - Jean-Yves
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Voici la Parole de Dieu de ce dimanche...

Première lecture...

Réunie à Jérusalem autour du scribe Esdras, toute la communauté juive ouvre ses oreilles et son cœur à la parole de Dieu:

1ère lecture, Ne 8, 1-4a.5-6.8-10 - Quand arriva la fête du septième mois, tout le peuple se rassembla comme un seul homme sur la place située devant la Porte des eaux. On demanda au prêtre Esdras d'apporter le livre de la loi de Moïse, que le Seigneur avait donné à Israël. Alors le prêtre Esdras apporta la Loi en présence de l'assemblée, composée des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre. C'était le premier jour du septième mois. Esdras, tourné vers la place de la Porte des eaux, fit la lecture dans le livre, depuis le lever du jour jusqu'à midi, en présence des hommes, des femmes, et de tous les enfants en âge de comprendre : tout le peuple écoutait la lecture de la Loi. Le scribe Esdras se tenait sur une tribune de bois, construite tout exprès. Esdras ouvrit le livre ; tout le peuple le voyait, car il dominait l'assemblée. Quand il ouvrit le livre, tout le monde se mit debout. Alors Esdras bénit le Seigneur, le Dieu très grand, et tout le peuple, levant les mains, répondit : « Amen ! Amen ! » Puis ils s'inclinèrent et se prosternèrent devant le Seigneur, le visage contre terre. Esdras lisait un passage dans le livre de la loi de Dieu, puis les lévites traduisaient, donnaient le sens, et l'on pouvait comprendre. Néhémie le gouverneur, Esdras qui était prêtre et scribe, et les lévites qui donnaient les explications, dirent à tout le peuple : « Ce jour est consacré au Seigneur votre Dieu ! Ne prenez pas le deuil, ne pleurez pas ! » Car ils pleuraient tous en entendant les paroles de la Loi. Esdras leur dit encore : « Allez, mangez des viandes savoureuses, buvez des boissons aromatisées, et envoyez une part à celui qui n'a rien de prêt. Car ce jour est consacré à notre Dieu ! Ne vous affligez pas : la joie du Seigneur est votre rempart ! »
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Photo:
À l'abbaye de Saint-Jean-Matha - Jean-Yves
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Voici l'évangile...


Luc 1, 1-21 + Plusieurs ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, tels que nous les ont transmis ceux qui, dès le début, furent les témoins oculaires et sont devenus les serviteurs de la Parole.

C’est pourquoi j’ai décidé, moi aussi, après m’être informé soigneusement de tout depuis les origines, d’en écrire pour toi, cher Théophile, un exposé suivi, afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as reçus.
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Homélie

(Jacques Lajoie, curé de la cathédrale - La Pocatière)

3ème dimanche C, 27 janvier 2013

Chers ami(e)s,
Ce que nous avons fait depuis le début de la messe présente des ressemblances avec ce que raconte la première lecture de ce dimanche. Ce texte, tiré du livre de Néhémie, dit que «tout le peuple se rassembla comme un seul homme sur la place située devant la porte des eaux».

Nous aussi, nous sommes rassemblés en un même lieu. Puis, toujours selon le texte de Néhémie, «le livre de la Parole est apporté et le prêtre Esdras procède ensuite à la lecture, comme nous venons de le faire aussi pour la proclamation des textes bibliques.

L’auteur précise que lorsqu’Esdras ouvrit le livre pour commencer la lecture, «tout le monde se mit debout» puis lança une acclamation. Nous avons agi de manière semblable au début de la lecture de l’évangile.

Ces ressemblances montrent d’abord que notre liturgie chrétienne est en continuité avec la façon dont le peuple de Dieu se rassemble autour de la Parole de Dieu depuis les temps anciens.

Aussi, nous constatons que nos pratiques liturgiques s’enracinent dans une tradition selon laquelle le Seigneur a quelque chose à dire aux humains et qu’il vaut la peine de s’arrêter pour l’écouter. Ainsi la messe est un temps pour nous nourrir non seulement du pain eucharistique, mais aussi de la parole de Dieu. Notre célébration se réalise autour de deux tables indissociables : celle de la Parole et celle du Pain; deux tables très importantes pour notre communion avec Dieu.

Dans la première lecture, l’auteur souligne une réaction du peuple : «Ils pleuraient tous en entendant les paroles de la Loi.» Il ne précise pas les raisons de cette réaction. C’est peut-être parce que les Israélites prennent alors conscience qu’ils n’ont pas respecté la loi du Seigneur. Ou parce qu’ils se rendent compte que cette loi est présentée de façon si exigeante que jamais ils ne pourront lui être fidèles en tout point. Quoiqu’il en soit, le scribe Esdras intervient pour dire que cette attitude n’est pas justifiée : «Ne vous affligez pas, la joie du Seigneur est votre rempart.»

La parole de Dieu peut nous paraître exigeante, à nous aussi, mais elle est avant tout libératrice et source de joie. Jésus le dit en toutes lettres dans l’évangile d’aujourd’hui : «Le Seigneur m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu’ils sont libres, et aux aveugles qu’ils verront la lumière.»

Après avoir lu cet extrait du livre d’Isaïe, Jésus termine en disant : «Cette parole de l’Écriture, que vous venez d’entendre, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit.» Cet «aujourd’hui» dure toujours; il ne vaut pas uniquement pour les juifs réunis, ce jour-là, à la synagogue de Nazareth. C’est aussi dans le présent que cette Bonne Nouvelle s’accomplit et se réalise pour chacun et chacune de nous.

Cette parole s’accomplit d’abord dans l’Eucharistie que nous vivons présentement. Elle s’accomplit par la grâce du Christ. Elle s’accomplit aussi dans notre monde par les mains de ses disciples et par les mains des hommes et des femmes de bonne volonté qui, sans se référer à Dieu, accomplissent son œuvre.

Quand Dieu parle, ce n’est pas pour les hommes et les femmes du passé. Il parle au présent, i.e. pour nous, ici et maintenant. Si sa parole a traversé les siècles, c’est parce que des croyants et des croyantes y ont trouvé, dans leur temps, de quoi se libérer de leurs prisons et de quoi ouvrir leurs yeux.

La joie à laquelle Esdras conviait le peuple à Jérusalem, c’est notre joie à nous aussi. Et notre joie est complète parce que Jésus a accompli pour nous cette parole, il l’a amenée à son aboutissement en réalisant la victoire sur le mal et la mort. Non seulement ses paroles étaient «bonne nouvelle», mais lui-même était et est toujours la Bonne Nouvelle tant attendue.

Les prisonniers et les opprimés libérés, les aveugles qui voient, ce sont des exemples pour exprimer cette victoire définitive sur le mal. C’est ce qui nous réjouit, et c’est le motif de notre action de grâce aujourd’hui.

Oui, aujourd’hui, l’Esprit de Dieu nous est donné pour que notre agir s’inspire de plus en plus de l’Évangile.

Dans la mesure où nous nous nourrissons de la Parole de Dieu, nous pouvons en imprégner notre vie. C’est maintenant par nous que Jésus agit pour accomplir la promesse divine. Nous connaissons des croyants qui ont réalisé ou qui réalisent présentement cette promesse de façon concrète. Pensons à Mère Térésa, à Jean Vannier, à Gilles Kègle, et bien d’autres qui ont donné ou donnent encore de leur vie pour améliorer la vie des plus démunis…

Jésus nous donne son Esprit pour que nous soyons des êtres fraternels, attentifs aux appels de nos frères et de nos sœurs. Il nous donne son Esprit pour que nous apportions aux pauvres le soutien de notre aide et de notre partage, aux aveugles la lumière de notre amitié, et pour qu’aujourd’hui soit un jour de bienfaits pour ceux et celles qui sollicitent notre aide.

C’est notre mission de chrétiens et de chrétiennes : faire en sorte que la Bonne Nouvelle prenne corps dans notre vie, que la Parole de Dieu soit Bonne Nouvelle vivante aujourd’hui, et qu’à la suite de Jésus, nous soyons nous-mêmes «bonne nouvelle».

Merci Jésus d’être venu nous rappeler ce mystère d’amour. Revêts-nous de ta bonté et qu’au long de nos jours nous révélions ta présence dans notre monde. Amen

Jacques Lajoie, ptre - Diverses sources
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Intentions de prière...

- Pour nos jeunes qui reçoivent nos catéchèses...
- Pour les adultes qui se préparent aux sacrements...
- Pour les malades de nos communautés...
- Pour les intentions du groupe de prière de La Pocatière...
- Aux intentions spéciales d'une évêque français...
- Pour une soeur décédée dans la famille...
- Pour les parents de jeunes qui demandent le baptême...
- Pour ceux et celles qui proclament la Parole de Dieu...
- Pour nos visiteurs...  
- Pour le groupe qui nous est fidèle...

Notre Père...
Je vous salue Marie...
Gloire au Père...
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Photo:
Base de la Table de la Parole de Dieu -
Église de Saint-Jean-Port-Joli - Jean-Yves
(C'est l'église où j'ai été baptisé: j'en suis fier!)

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Bon dimanche!
Fraternellement!
Jean-Yves

jeudi 24 janvier 2013

Qu'est-ce qui t'attire chez Jésus?...

Bonjour!

Jeudi 24 janvier 2013
Photo:
Village de Rivière-Ouelle - Jean-Yves
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Voici la Parole de Dieu pour ce jour...

Marc 3, 7-12 + Jésus se retira avec ses disciples au bord du lac ; et beaucoup de gens, venus de la Galilée, le suivirent ; et aussi beaucoup de gens de Judée, de Jérusalem, d’Idumée, de Transjordanie, et de la région de Tyr et de Sidon avaient appris tout ce qu’il faisait, et ils vinrent à lui. Il dit à ses disciples de tenir une barque à sa disposition pour qu’il ne soit pas écrasé par la foule. Car il avait fait beaucoup de guérisons, si bien que tous ceux qui souffraient de quelque mal se précipitaient sur lui pour le toucher. Et lorsque les esprits mauvais le voyaient, ils se prosternaient devant lui et criaient : « Tu es le Fils de Dieu ! » Mais il leur défendait vivement de le faire connaître.
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Pour notre réflexion...

1. Quelle attraction Jésus exerce-t-il sur la foule ! En plus de ses disciples, on parle de multitude. Et c’est une multitude hétéroclite : des gens venant de Galilée, de Judée, de Jérusalem, d’Idumée, de Transjordanie, et de la région de Tyr et de Sidon.

Et moi, qu’est ce qui m’attire dans le Christ ? Me suis-je laissé toucher par la beauté de sa personne, par la chaleur et la force de son amour pour moi ? Ai-je pris la décision de le suivre, pas seulement en montrant mon adhésion à ses paroles, mais en les vivant tous les jours ?

2. Après le passage de la guérison de l’homme à la main sèche dans une synagogue, le jour du sabbat, Jésus se retire pour échapper aux Pharisiens qui complotent contre lui. Mais la foule le suit. Là encore Jésus se retire et Il demande de lui préparer une barque pour échapper à la multitude qui risque de l’écraser. Puis Il demande le silence sur sa condition aux esprits impurs. Curieuse attitude de Jésus ! Lui le miséricordieux, le tout puissant, l’envoyé du Père, le bon berger, il semble prendre de la distance face aux pharisiens et face à la foule.

3. Pourquoi, quelquefois, quand on cherche Dieu, Il se retire, Il s’efface ? On peut alors se poser la question ; pourquoi cherche-t-on Jésus ? Qu’est ce qu’on attend de lui ? Pourquoi est que je suis Jésus ? Il y a plusieurs manières de le suivre : pour être avec lui, pour apprendre tout de Lui, pour répondre à son appel et me mettre au service des autres comme les disciples, ou bien pour chercher quelque chose pour moi, pour retrouver un bien perdu, une sécurité humaine, comme la foule envahissante... (D'après catholique.org)
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Et encore...

- Les gens venaient de partout...
- Marc invite à l'universalité...
- Jésus guérit plein de monde.
- Marc veut nous montrer l'espérance de tous ces gens...
- Est-ce que notre Église s'est éloignée des préoccupations du monde?
- Il est important, si on prend Jésus comme modèle,
de côtoyer les gens...
- Laissons-nous interpeller par les gens tels qu'ils sont...
- Jésus accueille tout le monde...
- Le Christ est toujours présent dans notre monde...
- Ayons une oreille attentive...
- Le Christ est présent à travers nous aujourd'hui...
Alors comment le faire connaître?...
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«Il faut du courage pour aimer l'Église aujourd'hui
et se dire fier de lui appartenir
quand elle est critiquée de toutes parts et parfois avec raison.»
(Alain Roy)
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Photo:
Un banc de la ville...- Jean-Yves
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«La nouvelle évangélisation est une "chance"
disons plutôt une "grâce" pour l'Église.»
(Marcel Dumais o.m.i. /La Nouvelle évangélisation)
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«Si les obstacles n'existaient pas,
où puiserait-on la motivation du dépassement?»
(François Gervais)
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Photo:
Église de Saint-Pacôme
Magnifique photo d'André Lavoie - Merci!
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mardi 22 janvier 2013

Jésus guérit un jour de sabbat.....

Bonjour!

Mercredi 23 janvier 2013

Photo:
Le fleuve à La Pocatière - l'automne dernier - Jean-Yves
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«Frappe à ma porte,
Toi qui viens me déranger.
Frappe à ma porte,
Tu viens me ressusciter.

Je ne sais ni le jour ni l'heure,
Mais je sais que c'est Toi, Seigneur».
(Hymne - bréviaire)
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Voici la parole de Dieu de ce jour...

Marc 3, 1-6 + Un jour, Jésus entra dans une synagogue ; il y avait là un homme dont la main était paralysée.

On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat ; on pourrait ainsi l’accuser. Il dit à l’homme qui avait la main paralysée : « Viens te mettre là devant tout le monde. » Et s’adressant aux autres :

« Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien, ou de faire le mal ? de sauver une vie, ou de tuer ? » Mais ils se taisaient.

Alors, promenant sur eux un regard de colère, navré de l’endurcissement de leurs cœurs, il dit à l’homme : « Étends la main. » Il l’étendit, et sa main redevint normale.
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Pour notre réflexion...

1.  C'est jour de sabbat. Jésus entre dans une synagogue pour la prière en commun. Les pharisiens veulent le mettre à l’épreuve: ils lui amènent un malade pour qu’il le guérisse, afin de l’accuser de violer le sabbat.
2. Lorsque Jésus se rend compte du piège que lui ont tendu les pharisiens, il aurait pu agir de plusieurs manières. Il aurait pu faire comme s’il n’avait rien vu. Il aurait pu s’indigner de leur mauvaise foi et sortir de la synagogue en secouant la poussière de ses sandales. Il aurait pu dire au paralysé qu’il aimerait bien le guérir, mais que c’était le sabbat, qu’il valait mieux revenir le lendemain... Mais le Seigneur a un cœur tellement rempli d’amour pour les personnes diminuées qu’il ne peut résister à la vue d’un malheur. Il est pris de compassion. Il est d’ailleurs venu sur terre pour nous révéler l’amour du Père, et il le révèle par ses actes. Nous pouvons avoir une confiance totale dans le Seigneur. Il sait ce dont nous avons besoin, il ne veut que notre bonheur.

3. On peut être surpris par le regard de colère que le Christ porte sur les pharisiens. Mais il faut se rappeler que la colère de Dieu ne s’oppose pas à sa miséricorde. C’est plutôt la réaction divine devant le mal. Il n’y a pas de compromis possible avec le péché. Le Seigneur aime les pharisiens, il les aime autant que l’homme dont il guérit la main, et il souhaiterait les guérir de ce que l’évangile appelle l’endurcissement de leurs cœurs. Cet endurcissement, c’est l’orgueil de ceux qui pensent qu’ils n’ont pas besoin de conversion. Jésus est attristé par leur résistance à Dieu. Ils sont comme des morceaux de métal tellement rouillés qu’ils ne sont plus conductibles : ils croient vivre la loi, mais ils sont devenus insensibles à l’amour de Dieu, qui est pourtant le cœur de la loi. Et nous ? Sommes-nous durs de cœur ? (D'après catholique.org)

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C'est un texte de guérison, ici, qui nous est proposé ce matin,
comme il y en a plusieurs dans l'évangile...
Jésus veut remettre en question des passages de la loi juive
qui  sont devenus pervertis et injustes,
qui écrasent au lieu de libérer l'homme.
Selon la Loi, Jésus n'a pas le droit de guérir un jour e sabbat,
de faire le bien un jour de sabbat...
C'est ridicule!
Est ce que nous avons aussi des règles ridicules
 dans notre religion chrétienne?
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Photo:
De André Lavoie - Saint-Pacôme - Merci!
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Prière
(pour ceux et celles qui se préparent au sacrement de la confirmation)

Seigneur Jésus,
je veux que ton Esprit traverse ma vie
pour m'aider à être plus attentif et attentive
aux besoins des autres:
mes parents, mes frères, mes soeurs, mes ami(e)s.

Ma vie sera plus belle et plus généreuse
si tu m'accompagnes de ton don d'affection filiale.
J'aurai plus d'ouverture aux autres
et je m'épanouirai sous ton regard,
grâce à ton amour.

Éveille en moi le désir d'aller vers les autres
pour partager leurs peines et leurs joies.
Merci de m'accompagner à tous les jours
sur le chemin de ma vie.
Amen,
(Jean-Yves Fortin)
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«Je suis incapable de faire disparaître la rivière,
mais je peux t'aider à la traverser.»
(François Gervais)
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«La véritable évangélisation d'hier
comme la nouvelle évangélisation d'aujourd'hui a été,
est et sera l'oeuvre du Saint-Esprit par des chrétiens imparfaits,
fragiles, souvent des pécheurs, mais qui veulent devenir des saints
et qui annoncent la Bonne Nouvelle parce qu'ils sont heureux
de connaître le Christ et de vivre avec Lui.»
(Gérard Daucourt - évêque de Nanterre)
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Sur l'existence ou non du destin,
Alain Roy répond ceci alors qu'il est à table avec des membres de sa famille;
c'est dans son livre: «Une Église sans domicile fixe». :
«J'ai dit qu'au nom de ma foi, je n'y croyais.
J'ai expliqué comment je bâtissais ma vie et mon avenir
avec la complicité du Seigneur qui respecte ma liberté
et ne m'impose pas un sort.
Mon avenir n'est pas tracé d'avance, je le fabrique avec mes choix,
l'intervention du Seigneur et une part de hasard." (p. 97)
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«Être chrétien c'est une source de joie, de bonheur.»
(Mgr Daniel Jodoin, nouvel évêque de Bathurst - N.-B.)
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«Personne, par la guerre, ne devient grand.»
(Réplique de "La guerre des étoiles")
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Diacre
au coeur de notre monde.
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Bonne journée!
Fraternellement!
+
Jean-Yves

Il fait -22° ce matin à La Pocatière.

dimanche 20 janvier 2013

Quand le vin vint à manquer... / Faire de la place...

Bonjour!

Dimanche 20 janvier 2013

Photo:
:.orgue de la cathédrale - La Pocatière - Jean-Yves
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...

Texte de l'Évangile (Jn 2,1-12): Trois jours plus tard, il y avait un mariage à Cana en Galilée. La mère de Jésus était là. Jésus aussi avait été invité au repas de noces avec ses disciples. Or, on manqua de vin; la mère de Jésus lui dit: «Ils n'ont pas de vin». Jésus lui répond: «Femme, que me veux-tu? Mon heure n'est pas encore venue». Sa mère dit aux serviteurs: «Faites tout ce qu'il vous dira».


Or, il y avait là six cuves de pierre pour les ablutions rituelles des Juifs; chacune contenait environ cent litres. Jésus dit aux serviteurs: «Remplissez d'eau les cuves». Et ils les remplirent jusqu'au bord. Il leur dit: «Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas». Ils lui en portèrent. Le maître du repas goûta l'eau changée en vin. Il ne savait pas d'où venait ce vin, mais les serviteurs le savaient, eux qui avaient puisé l'eau. Alors le maître du repas interpelle le marié et lui dit: «Tout le monde sert le bon vin en premier, et, lorsque les gens ont bien bu, on apporte le moins bon. Mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu'à maintenant».


Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit. C'était à Cana en Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui. Après cela, il descendit à Capharnaüm avec sa mère, ses frères et ses disciples, et ils y restèrent quelques jours.
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Points de réflexion


1. L’évangile d’aujourd’hui nous montre bien l’humanité du Christ. Imaginons Jésus, au tout début de son ministère apostolique qui, avec ses disciples, accompagne sa mère au mariage d’un cousin ou d’un ami de la famille. Les mauvaises langues disent d’ailleurs que c’est l’arrivée de tant d’invités non attendus, qui aurait été la cause du manque de vin.

2. Jésus, à la demande de sa mère vient au secours des jeunes mariés, changeant l’eau en vin. Comment ne pas penser aux deux passages de la multiplication des pains et à celui de la pêche miraculeuse, où le Seigneur fera quelque chose de similaire. A chaque fois, Jésus sera très généreux. Des centaines de litres à Cana, 12 et 7 paniers de restes pour les multiplications des pains, tant de poissons, que le bateau s’enfonce presque sur le lac. Clairement, Jésus donne sans compter. Sur la croix il se donnera tout entier, et juste avant de mourir il nous laissera en héritage la seule chose qu’il lui reste, sa propre mère.

3. Pour cela n’ayons pas peur de faire confiance au Seigneur lorsque nous nous trouvons dans des situations compliquées. Il est réellement notre bon pasteur, qui veille sur nous et nous apporte son aide avec grande générosité, lorsqu’elle est nécessaire et opportune. Le Seigneur est notre berger, rien ne peut nous manquer.
(D'après catholique.org)

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Et encore....

- Est-ce que vous aimez les noces?... Le bon vin?...
- Jésus ne fait pas à peu près quand il fait quelque chose...
- Il a fait ce signe au début de son ministère:
il était à des noces...
Le vin vint à manquer... à la demande de sa mère,
il a donné du vin nouveau et meilleur que le premier...
- À nous de boire avec lui ce vin...
- Vin de sa présence à nos côtés...
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- Être chrétien, chrétienne, ce n'est pas juste une religion...
- Il y a aussi faire de la place pour une relation vraie avec Jésus...
- Nous pouvons faire le choix de s'accrocher à Jésus...
Même dans les moments les plus difficiles...
- Il comblera le mal de vivre sans lui...
- Dans notre coeur il y a une grande place pour Dieu...
- Nous sommes crées à son image et à sa ressemblance...
-Laisse Jésus remplir cette place...
- Qu'est ce qui manque dans ma vie et que je remplis par TOUT autre chose?
- Dieu veut cette relation avec toi...
- Avec Jésus, on vit avec la paix dans le coeur...
- J'ai à bâtir cette relation pour être en paix et heureux...
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«Le Seigneur passe...
Attendras-tu
Un autre rendez-vous?
Pourquoi tarder?
Prends avec lui
Le chemin de la vie...»

«Le Seigneur passe...»
(Hymne du bréviaire)
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Dans le psaume 130 il est dit:
«Mon âme est en moi
comme un petit enfant,
comme un petit enfant contre sa mère.»
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«La foi c'est de se remettre totalement entre les mains
du Seigneur qu'on en voit pas.
C'est de se laisser tomber dans le vide,
certain de se faire attraper avant de toucher le sol
et de se blesser.»
(Alain Roy)
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Pour m'écrire:

Bonne journée!
Fraternellement!
Jean-Yves
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vendredi 18 janvier 2013

Quelques citations de Normand Provencher sur l'Église d'aujourd'hui...

Bonjour!

Vendredi 18 janvier 2013

À partir d'une entrevue avec Normand Provencher...

Voici quelques phrases tirées d'une entrevue 
que le père Normand Provencher a accordé
à la revue Notre-Dame-du-Cap de ce mois de janvier.

L'entrevue est intitulée "Baissons-nous les bras?"
Je cite l'introduction:
«Le père Normand Provencher o.m.i., théologien à l'Université Saint-Paul,
a écrit un livre publié en 2002 qui a pour titre
Trop tard? L'avenir de l'Église d'ici.
Ce livre a fait événement car il posait des questions pertinentes
pour l'avenir de l'Église au Québec.
Nous l'avons rencontré dix ans plus tard
pour faire le bilan de ce qui s'est passé depuis 10 ans».

En voici quelques phrases:

- «Il est urgent de redécouvrir l'Évangile».

- Je pense que les gens doivent découvrir dans l'Évangile
une force de libération.»

- Ce qui doit être premier, c'est l'amour, l'attention aux autres,
aux petits et aux pauvres.»

- «Dieu n'est pas que dans nos églises.
Dieu demeure chez les gens qui souffrent.
Il est chez les pauvres et ceux qui font la promotion de la justice.»

- « (En occident) Nous assistons à la fin d'une forme d'Église.
Cependant, dans la foi et dans l'espérance je pense qu'elle va renaître.»

- «Je pense maintenant que nous devons plus que tout
annoncer Jésus Christ afin qu'il soit connu et aimé.
Il est important que les gens développent une relation avec Jésus.»

- «Il nous faut réellement réentendre l'évangile
dans la fraîcheur de la première annonce.»
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Bonne fin de soirée!
Fraternellement!
Jean-Yves

Très froid, ce soir!
Aux environs de -20° ...

mardi 15 janvier 2013

Il enseigne avec autorité... Il guérit...

Bonjour!

Mardi 15 janvier 2013

«Dieu, viens à mon aide.
Seigneur, à notre secours.»
(Première salutation au bréviaire)
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«Un chant rassemble dans la nuit
les voix dispersées:
L'Église a devancé l'aurore
Et fait monter vers le Seigneur
Tout l'espoir de notre monde.»
(Hymne au bréviaire de ce matin -1ère partie.)
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«Dieu, tu es mon Dieu,
Je te cherche dès l'aube
Mon âme a soif de Toi.»
(Réponds à la Parole de Dieu au bréviaire de ce matin).
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Photo:
Au bord du fleuve - La Pocatière -Jean-Yves
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...

Marc 1, 21-28+ Jésus, accompagné de ses disciples, arrive à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit mauvais, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais fort bien qui tu es : le Saint, le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Silence ! Sors de cet homme. » L’esprit mauvais le secoua avec violence et sortit de lui en poussant un grand cri. Saisis de frayeur, tous s’interrogeaient : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, proclamé avec autorité ! Il commande même aux esprits mauvais, et ils lui obéissent. »


Dès lors, sa renommée se répandit dans toute la région de la Galilée.
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Pour nourrir notre réflexion...

-Jésus retourne dans la région où il a grandi...
- Il donne l'enseignement à la synagogue;
Il le fait avec tout son coeur...
- Il interpelle le Malin...
- Il interpelle ce qui est négatif; il le fait avec autorité...
- Il peut aussi chasser ce qui est négatif en moi, en nous...
- Il veut nous libérer de ce qui est mauvais et qui rôde tout le temps...
-"Sors de cet homme"...
- Sa Parole peut être libération pour chacun et chacune de nous...
- Jésus veut vraiment nous libérer... Il faut y croire!
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1. Sa manière d’enseigner.
Jésus est venu pour nous montrer le chemin vers le Royaume de son Père. Dans le monde d’aujourd’hui tant de voix nous troublent et nous font douter de notre foi !Pourquoi ne pas simplement écouter avec notre cœur le message simple de Jésus Christ qui est le Chemin, la Vérité, et la Vie ?


2. Jésus est le plus fort.
Jésus donne un ordre au Mauvais, et il le soumet. Le Mauvais craint la puissance du Christ. Il est réduit au silence et chassé par une seule parole du Christ. Souvent nous nous inquiétons et nous craignons que le péché et le mal aient prise sur nous et que nous ne puissions pas y échapper... Nous pensons que nous ne pouvons pas vivre comme le Seigneur nous le demande. Et pourtant, sa parole fait fuir le mal sur le champ. Il peut faire la même chose en nos vies, si nous mettons toute notre confiance en lui.


3. Le mal que je ne peux pas surmonter.
 Quel est le mal que je n’arrive pas à éliminer de ma vie ? Quel est mon défaut ou ma faiblesse la plus importante ?  Je dois me tourner vers le Christ et mettre ma confiance en sa parole de vie. Je dois lui demander de me libérer de cette force pernicieuse qui me ronge et qui m’empêche d’aimer et de me donner à Dieu et aux autres, de tout mon cœur. (D'après catholique.org)
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Sur le baptême...

Dimanche dernier,  dans le calendrier "Au coeur du jour, une parole",
il y avait une belle réflexion sur la baptême; je vous la communique:

«Le baptême est une dignité,
puisqu'il nous fait passer du côté de Dieu,
 puisqu'il nous rend membres de sa famille,
puisqu'il nous donne l'esprit qui sauve
et qu'il nous rend frères et soeurs du Christ.
Il est aussi une responsabilité.
Il appelle à vivre comme des enfants de Dieu.»
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«Comme un instrument de musique,
la vie est là devant moi.
Sur le pupitre, il y a la partition composée par le Seigneur.
À moi de faire de ma vie un concert harmonieux
en réalisant de mon mieux ce que le Seigneur attend de moi.»
(André Piovano)

Et le Seigneur, comme un bon maître de musique,
est toujours là à mes côtés pour m'aider à apprendre.
Il ne me laisse pas seul dans mon apprentissage...
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Diacre
au coeur de notre monde.
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Bonne journée!
Fraternellement!
Jean-Yves
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Pour me contacter:
jyfortin2@hotmail.com

Il y a de la place pour le partage...
118,829 pages de ce blogue ont été ouvertes jusqu'à maintenant.
Merci pour cet intérêt à partager la Parole de Dieu.
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