Bonjour!
Samedi 18 juillet 2015
Photo:
Dans les jardins de Louise...
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Voici la Parole de Dieu de ce jour...
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Commentaire: Abbé Josep Mª MASSANA i Mola OFM
(Barcelona, Espagne)
«Il
les guérit tous»
Aujourd'hui,
nous trouvons un double message. D'un côté, Jésus nous appelle avec une belle
invitation à le suivre: «Beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous»
(Mt 12,15). Si nous le suivons nous trouverons le remède aux difficultés du
chemin, comme Il nous rappelait il n'y a pas longtemps: «Venez à moi, vous tous
qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos» (Mt
11,28). De l'autre côté, on nous montre le courage de l'amour paisible: «Il ne
protestera pas, il ne criera pas» (Mt 12,19).
Il sait que nous sommes accablés et éreintés par le poids de nos faiblesses physiques et morales... et par cette croix inattendue qui nous a rendu visite dans toute sa crudité, par les frictions, les désillusions, le chagrin. En fait, «ils se réunirent contre Jésus pour voir comment le faire périr» (Mt 12,14) et... nous que sommes conscients que le disciple n'est pas au-dessus de son maître (cf. Mt 10,24), nous devons être aussi conscients que nous devrons également souffrir l'incompréhension et l'affront.
Tout cela constitue un fardeau qui pèse sur nos épaules, un fardeau qui nous fait fléchir. Et nous entendons alors comme la voix de Jésus qui nous dit: «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos…»
C'est curieux: Jésus nous invite à laisser notre poids, mais il nous en offre un autre: son joug, avec la promesse, ça oui, qu'il est doux et léger. Il veut nous montrer que nous ne pouvons pas aller dans ce monde sans aucun poids. Nous devons porter un fardeau ou un autre. Mais qu'il ne s'agisse pas de notre fardeau plein de matérialisme; qu'il s'agisse de son poids qui est léger…
En Afrique, les mères et les sœurs aînées amènent les plus petits accrochés sur le dos. Une fois un missionnaire vit une gamine qui y portait son petit frère... Et il lui demanda: «Ne crois-tu pas que c'est un poids trop lourd pour toi?». Elle répondit sans y penser: «Il n'est pas un poids, il est mon petit frère et je l'aime». L'amour, le joug de Jésus, n'est pas lourd, mais il nous délivre de tout ce qui nous accable.
Il sait que nous sommes accablés et éreintés par le poids de nos faiblesses physiques et morales... et par cette croix inattendue qui nous a rendu visite dans toute sa crudité, par les frictions, les désillusions, le chagrin. En fait, «ils se réunirent contre Jésus pour voir comment le faire périr» (Mt 12,14) et... nous que sommes conscients que le disciple n'est pas au-dessus de son maître (cf. Mt 10,24), nous devons être aussi conscients que nous devrons également souffrir l'incompréhension et l'affront.
Tout cela constitue un fardeau qui pèse sur nos épaules, un fardeau qui nous fait fléchir. Et nous entendons alors comme la voix de Jésus qui nous dit: «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos…»
C'est curieux: Jésus nous invite à laisser notre poids, mais il nous en offre un autre: son joug, avec la promesse, ça oui, qu'il est doux et léger. Il veut nous montrer que nous ne pouvons pas aller dans ce monde sans aucun poids. Nous devons porter un fardeau ou un autre. Mais qu'il ne s'agisse pas de notre fardeau plein de matérialisme; qu'il s'agisse de son poids qui est léger…
En Afrique, les mères et les sœurs aînées amènent les plus petits accrochés sur le dos. Une fois un missionnaire vit une gamine qui y portait son petit frère... Et il lui demanda: «Ne crois-tu pas que c'est un poids trop lourd pour toi?». Elle répondit sans y penser: «Il n'est pas un poids, il est mon petit frère et je l'aime». L'amour, le joug de Jésus, n'est pas lourd, mais il nous délivre de tout ce qui nous accable.
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«L'espérance ne séjourne pas dans les cours des puissants,
ne s'exhibe pas sur les scènes des philosophes.
Elle revêt le tablier d'une petite fille qui donne le bonjour chaque matin.»
(E. Mounier / cité par Ermes Ronchi)
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«Restons indulgents avec l'enfant qui demeure en chacun de nous,
afin qu'il grandisse en harmonie, selon le désir de Dieu. (...)
Acceptons de recevoir en nous cet être intérieur
à qui Dieu a donné vie et continue ce miracle à chaque instant.»
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«C'est Dieu qui pardonne et qui sauve.»
(François Dabezies)
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Ces auteurs me font vivre de ce temps-ci...
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«Le Seigneur passe...
Ouvriras-tu
Quand frappe l'inconnu?
Peux-tu laisser mourir la voix
Qui réclame ta foi?»
(Bréviaire - ce jour)
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Bonne journée!
Jean-Yves
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