Bonjour!
Photo: C'est pour bientôt le retour des oies blanches... - Jean-Yves
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J'espère ne pas vous avoir tous et toutes perdus depuis que la neuvaine à saint Joseph est terminée...
Dimanche dernier, c'était déjà le 5e dimanche du carême!
Mais oui, nous nous acheminons sûrement vers la grande fête de Pâques.
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J'ai trouvé le texte du commentaire de Normand Provencher très intéressant pour ce 5e dimanche du carême dans le carnet de Vie liturgique; j'ai pensé qu'il pourrait réponde à un corespondant qui ne sent plus sa place dans l'Église... Voici ce que j'ai noté:
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"Que celui d'entre vous qui n'a jamais péché
lui jette la première pierre."
(Jn 8,7)
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Pour mieux comprende, voici auparavant le texte de l'évangile:
(Jean 8, 1-11) - Jésus s’était rendu au mont des Oliviers ; de bon matin, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en train de commettre l’adultère. Ils la font avancer, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été prise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, qu’en dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il traçait des traits sur le sol. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter la pierre. » Et il se baissa de nouveau pour tracer des traits sur le sol. Quant à eux, sur cette réponse, ils s’en allaient l’un après l’autre, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme en face de lui. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Alors, personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Et voici le commentaire de Normand Provencher:
Oui je peux recommencer! - N'avons-nous pas l'impression que nous sommes parfois prisonniers de notre passé, de nos habitudes et de nos échecs? Nous voyons si peu de progrès et de nouveautés dans nos amours, notre travail et notre relation avec Dieu. Tant de frontières nous semblent impossibles à franchir. Pourtant, tout peut changer. Un nouveu départ est toujours possible depuis que Jésus a sauvé cette femme qu'on allait lapider. Au lieu de l'emprisonner dans son passé, Jésus lui dit des mots qui la relèvent et la font revivre: "Je ne te condamne pas... Tu peux t'en aller, mais désormais ne pèche plus." Dès ce moment, cette femme, condamnée à mort, revit et peut s'engager sur une nouvelle route.
Dieu est plus forte que toutes les malices humaines.
Son pardon fait surgir le meilleur en nous...
Il met en nous une capacité de renouveau, une possibllité de nous reprendre,
de tout recommencer...
Il n'y a donc plus de situations si misérables soit-elle.
Laissons-nous dire, comme à cette femme:
"Je ne te condamne pas... va, reprend-toi!"
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- Sois loué, Seigneur, toi qui trouve ta joie dans le pardon,
toi qui nous ouvre un avenir nouveau et nos invite à nous reprendre.
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Il me semble que ce texte est de nature à réconforter... Qu'en dites-vous?
Si vous avez le goût de me répondre, allez-y!
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Pour Dieu, le passé est pardonné, oublié...
Le présent est don, guérison et amour...
Et le futur: il le prépare avec toi
dans l'amour qu'il a pour toi aujourd'hui...
Alors, branche-toi sur le présent, qui est le temps de Dieu!
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Prions les uns pour les autres...
- Pour Annie et pour Jean-Marc, recommandés par François.
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"Les mots aimables peuvent être courts et faciles à prononcer,
mais leurs échos sont véritablement infinis."
Mère Teresa
(re: chronique de Dany Landry)
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"Si tu dois faire un reproche à ton ami,
que cela soit secret entre vous;
mais ses louanges, que tous t'entendent les faire."
(Léonard de Vinci)
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"Si tu dois faire un reproche à ton ami,
que cela soit secret entre vous;
mais ses louanges, que tous t'entendent les faire."
(Léonard de Vinci)
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Photo:
La route pédestre près du fleuve à La Pocatière;
j'ai hâte d'aller y marcher...
Jean-Yves
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Bonne fin du jour!
Jean-Yves
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