lundi 13 décembre 2010

Les prostituées y ont cru... et les publicains aussi...



Je voulais vous présenter un coin de rue de La Pocatière...


Posted by Picasa

Photo: La Pocatière - Collège (secondaire privé) et CEGEP
CEGEP = Collège d'Enseignement Général Et Professionnel)
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Bonjour!

Voici la Bonne Nouvelle pour aujourd'hui...

Faire plutôt que dire...



(Matthieu 21,28-32)  - Jésus disait aux chefs des prêtres et aux anciens : « Que pensez-vous de ceci ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : ‘Mon enfant, va travailler aujourd’hui à ma vigne.’ Celui-ci répondit : ‘Je ne veux pas.’ Mais ensuite, s’étant repenti, il y alla. Abordant le second, le père lui dit la même chose. Celui-ci répondit : ‘Oui, Seigneur !’ et il n’y alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier ». Jésus leur dit : "Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu. Car Jean Baptiste est venu à vous, vivant selon la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole ; tandis que les publicains et les prostituées y ont cru. Mais vous, même après avoir vu cela, vous ne vous êtes pas repentis pour croire à sa parole."
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Pour aider notre réflexion...


- Jésus est à Jérusalem et parle avec des Pharisiens. Ils ont essayé de le piéger en lui demandant d’où venait son autorité. Jésus, avec habilité, leur renvoie la question. Il leur pose une énigme qui met en évidence leur manque de fidélité à Dieu. Jésus recherche la foi.
- La foi est l’attitude qui nous mène à se remettre à une autorité plus haute que notre propre autorité. Quand Dieu nous appelle à vivre selon sa volonté, nous devrions, du fait de notre foi, l’accepter et la vivre. Même si cela nous est importun ou inconfortable, nous ne devrions pas chercher à la contourner. Il est donc très important de veiller à l’authenticité de nos jugements, de nos pensées et de nos actions.

- Pour comprendre ce passage d’évangile, il nous faut faire un effort pour nous débarrasser de "la mentalité moderne". Selon elle, nous faisons ce que nous voulons tant que nous ne gênons personne. Jésus propose une mentalité différente. Jésus propose que non seulement nous écoutions, mais que nous accomplissions la volonté de Dieu en nos vies. Aucun des deux fils de cette parabole n’a parfaitement réagi, mais au moins un des fils est revenu à lui et s’est repenti de son obstination de cœur.

-  Bon nombre d’entre nous en lisant cette scène voudrait féliciter Jésus d’avoir su dominer ses ennemis et gagner la discussion. Nous admirons la sagesse et le savoir du Seigneur qui lui ont permis de se sortir de cette situation difficile.
- Mais Jésus ne cherchait pas à apparaître supérieur aux autres. Cette rencontre l’a attristé parce qu’il désirait vraiment que les Pharisiens le croient et acceptent son message de salut. Il ne s’agit pas d’emporter un débat avec brio. Il ne s’agit pas de briller devant nos adversaires... Il s’agit plutôt de tout faire pour les aider à voir la lumière.
(D'après catholique.org)
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"C'est fou ce qu'on peut s'enfermer dans des certitudes commodes: les bons, dont nous pensons assurément faire partie, seront sauvés, et les autres, dont nous estimons qu'ils ne partagent pas nos valeurs, ne le seront pas... Mais comment pouvons-nous en être si sûrs?... La parabole de Jésus sur les deux fils dont l'un dit oui , mais ne fait rien, et dont l'autre dit non, mais finit par accomplir la volonté de son père, vient briser ces certitudes...
(Dans "Au quotidien"...)
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- Le Seigneur m'invite à me reprendre, même si j'ai dit non... Je suis capable de revenir et de me réengager... Tant qu'il y a de la vie en moi, je peux me reprendre... à aimer...
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Photo: L'autel au Monastère Val-Notre-Dame
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"Vous valez ce que vaut votre coeur."
(Jean-Paul II)
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"Aimer c'est essentiellement se donner aux autres."
(Jean-Paul II)
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Est-ce que j'aime vraiment?...
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Bonne journée!
Jean-Yves



Une fleur pour finir... on l'a bien méritée!


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